Le SUD-CORRÈZE

Association dédiée
 à l’environnement naturel
du Sud-Corrèze
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créée en février 2021

 
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La Corrèze d'avant pour les scolaires











Les Grottes

Brive, l'autre pays du gruyère

Au sud de la commune dans les escartements gréseux , l'homme a recreusé les premières alvéoles pour se bénéficier d'un abri tout en pierre
et pas besoin de clé, la casserole d'huile bouillante faisant office de sécurité.

     
Sous la maison de Marie, membre du Js et sans doute l'ermitage de Saint Gondulphe à droite.



Une grotte très peu connue dans les fins fonds de la Planchetorte et lieu de quelques rituels anciens
    
Lamouroux fut timbré avant de s'ecrouler un 31 décembre récemment et à droite des grottes encore occupées au dessus d'une maison


L'ensemble des grottes de Lamouroux vu depuis le coteau en face et peu avant l'croulement partiel.

    
Grotteau dessus du golf et  une autre moins séculaire.


Les incontournable grottes de Saint Antoine, à visiter après toute perte
     
Grotte à deux niveaux sous champ et une des nombreuses vers Puy Jarrige

    
Escalier creusé dans la paroivers Laumont et bien sûr l'abri à charettes, prisé des touristes, je crois bien avoir repéré17 de ces grottes charretières...

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Le site internet "www.jardinsauvage.fr" est en cours de rénovation dans sa présentation depuis début 2021.
Ce site comporte plusieurs centaines de pages, il est l'organe d'information de l'association " le Jardin sauvage "
qui, elle, s'intéresse à l’environnement naturel du Sud-Corrèze et de ses confins les plus proches.
Cette évolution devrait continuer durant l'année 2021 pour donner plus de visibilité
 aux centaines de pages éditées depuis la création du site en 2008.
De nouvelles pages seront créées durant cette rénovation et des thèmes inédits s'y développeront.
Pour retrouver les pages déjà éditées, on peut soit aller voir la page des PUBLICATIONS,
dans le menu de la page d'accueil ou consulter l'ancienne page d'accueil  avec  zzIndex (jardinsauvage.fr)
Notre espoir est de satisfaire votre curiosité en présentant dans ce site bénévole et amateur,
quelques éléments de notre remarquable nature en Sud-Corrèze...



Quelques surprises

Les surprises attendent encore un peu




























Un peu plus loin
Notre association sort parfois de son périmètre habituel, pour visiter des territoires offrant des conditions
 un peu différentes de celles que l'on rencontre en Sud-Corrèze.
La Haute Corrèze s'avère être un secteur assez différent où l'aspect parfois montagnard de la végétation transparaît,
tout comme les massifs de proximité qui émergent dans les départements voisins du Cantal ou du Puy de Dôme,
les causses du Lot et les canyons qui s'y creusent offrent également des paysages étonnants et une végétation interessante.


Un des lacs de Saint Namphaise dans le Lot avant l'orage


Dans l'un des villages du Parc des Causses du Quercy


Le chemin creusé le long de la rivière Lot


La très rare Phelipanche nana visible à peu près seulement dans le Lot


Le moulin de Cauniaguet



Le Moulin du Saut dans le canyon de l'Ouisse près de Rocamadour


L'Hyssope officinale qu'on ne voit pas en Corrèze


Rencontre dans notre gîte du Lot avec une autre grande association de botanistes limousins : l'ALBL


La découverte de l'atelier de Louis 2verdal à Saint-Céré


La grande Filolie, toute proche en Dordogne


Narthessium ossigfragum dans les tourbières du nord corrézien


Droséra intermedia au même endroit


La Canneberge que l'on ne rencontre pas en Sud-Corrèze


Les zones humides près de Tarnac


Rhynchospore blanc en haute Corrèze


Une visite chez l'ami Jean-Pierre Roubertou qui cultive de belles plantes et surtout les succulentes


Vers Beynat toujours chez Jean-Pierre Roubertou


Le Jardin sauvage dans les grands paysages du Cézailler

ou  bien vers la fontaine salée au sud du Sancy
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Participation

Quelques exemples de notre engagement dans la vie culturelle de notre région au travers de quelques expositions parmi beaucoup auxquelles nous avons participé, .


l'Affiche Humboldt qui a eu lieu fin 2019

Les montages créés pour l'exposition sur Humbodt



La sortie aux dolmens de la Palein liant le début de l'histoire il y a 5000 ans dans notre région 
et la végétation rase du causse sous l'aimable compétence de M. Couchard







 Une exposition présentant les différents milieux au sud de Brive




La participation de tous pour protéger, réparer, aménager la nature du Sud-Corrèze


Des enfants très volontaitre pour nettoyer le Puy Lenty



Réouverture des pelouses envahies par la broussaille sur la parcelle du CEN vers le désert de Chèvrecujols



L'article relantant cette opération




Restauration de la marede Champ dans la vallée de Planchetorte

 
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Les milieux remarquables

L'exemple de milieux au sud de la commune de Brive

Présentation succincte du territoire au Sud de la commune de Brive
L'un des particularités de la commune de Brive, c'est d'accueillir, dans la partie sud de son territoire,
une grande diversité de milieux naturels résultant d’une somme de nombreux caractères structurants
qui sont rarement assemblés par ailleurs, et que l’on peut essayer de présenter ainsi :


La situation géographique de Brive-la-Gaillarde est un carrefour appelé souvent la porte du Midi ou le riant portail du Midi.
D’ailleurs on manque d’adjectif précis liant l’histoire et la géographie pour dénommer cette région aux limites du Limousin, du Quercy et du Périgord :
la salle qui accueille les grandes manifestations de la ville s’appelle l’Espace des Trois Provinces.  
Cette notion de carrefour s’applique aussi aux communications, soit naturelles avec les cours d’eau dont  la Corrèze, la Vézère
et plus loin la Dordogne, soit avec les axes construits par l’homme : voies ferrées, routes et autoroutes,
tout ceci favorisant l’implantation de nouvelles espèces notamment botaniques dont celles considérées comme envahissantes (les EEE).
 
Le territoire est façonné par une géologie diverse et imbriquée, faite tout d’abord de plusieurs faciès de grès marquant la fin du Trias
et les débuts du Lias, cette dernière couche se traduisant par les grès les plus élevés, plus grossiers et compacts,
se manifestant dans le relief par des lignes de grands blocs, au dessous on trouve d’une part des grès du Trias se dégradant beaucoup plus facilement
et d’ailleurs utilisés en carrières pour une production de sable clair,  ils sont également à l’origine du le caractère filtrant des sols
qui les recouvrent, et enfin d’autres grès massifs alternent dans les strates, quelquefois plus rouges
dont la qualité parfois a permis la construction des nombreuses maisons rurales dans la région.

Les édifices du centre ville étant construits avec un grès plus fin et plus clair dit pierre de Gramont
dont les carrières ne se trouvent pas sur le territoire communal.  
Surmontant les derniers grès stratigraphiques, les terrains plus récents de l’Hettangien sont constitués de calcaires dolomitiques en mélange
avec des marnes et forment une série de cinq sommets communaux. 
Ces couches géologiques calcaires se différencient de celles du Jurassique plus récent pourtant à proximité plus au Sud sur les communes limitrophes,
on parle alors du Causse corrézien.

Ces sols longuement humides et s’asséchant difficilement après un hiver normalement pluvieux entraînent un démarrage tardif de la végétation
en décalage notoire par rapport aux sols siliceux situés en contrebas sur le socle gréseux qui ont une réactivité plus précoce en saison.  
La proximité des deux substrats géologiques crée des poches marneuses se formant dans les premières dépressions gréseuses
qui contrecarrent les écoulements des eaux pluviales et forment des petits milieux originaux : les bas marais alcalins. 

Vers le fond des vallons, au pied des derniers escarpements, de nombreux ruisselets courent pour alimenter la Planchetorte,
le plus important ruisseau donnant son nom à cette partie de la commune.
Il y a souvent au pied des escarpements supérieurs, des colluvions qui témoignent de l’importance de l’érosion actuelle
qui s’exprime surtout dans l’arrachement des végétaux (constitués souvent de bryophytes)
et de la surface des grés lors du cycle gel-dégel lors des hivers rigoureux.
Du fait des suintements, d’énormes glaçons colonnaires sur les falaises se forment pendant la période de fort gel
et se détachent en fondant lors du réchauffement printanier.
Ces colluvions travaillées quelquefois anciennement en terrasses entre deux escarpements se forment aujourd’hui en amas pentus
avec la déprise culturale, ils constituent des substrats assez riches
pour alimenter une végétation plus abondante comparée à celle plus maigre qui pousse sur les coteaux. 

Les fonds alluvionnaires des vallées par leurs épaisseurs témoignent de l’érosion importante que subit le bassin versant de la Planchetorte
qui forme au sud l’essentiel du territoire communal.  Un sondage, utilisé pour la construction du viaduc SNCF enjambant la vallée,
a estimé à une dizaine de mètres l’épaisseur accumulée des alluvions depuis la dernière période glaciaire
qui voyait déjà l’Homme de la Préhistoire occuper le bassin versant dans ces sites si favorables à son implantation,
qui débuta, semble-t-il, à l’Aurignacien il y a 35000 ans. 

La géomorphologie de ce territoire est faite ainsi d’une succession de rupture de pentes,
conduisant à un patchwork dense de dizaines de vallons profonds creusés dans les grès
et parsemés de centaines de grottes issues de l’action de suintements plus importants et du cycle gel-dégel.
Ces vallons sont assez souvent bordés de falaises plus ou moins humides et d’escarpements variés,
l’alimentation en eau par ces suintements étant favorisé par les terrains supérieurs sableux filtrants installés
sur un socle compact occupés assez souvent par des landes à bruyères. 

Les sols et la pédologie favorable à l’existence de milieux rares résultent bien sûr de la géologie
mais aussi des traditions culturales qui se sont maintenues pour des raisons multiples :
proximité urbaine qui influent sur l’usage des propriétés, élevage des bêtes relativement extensif,
 impossibilité de labours avec ce sous sol de grès massifs parfois affleurant. 

Des conditions climatiques associent une certaine continentalité conjuguée à l’effet de cuvette du Bassin de Brive :
durant l’hiver 2012, février avec - 16°2 C voit un record régional pour l’année,
mais ces conditions se traduisent aussi paradoxalement par une influence méridionale sensible sur les coteaux les mieux exposés,
dans une position générale de la région de piedmont par rapport aux premiers plateaux du Massif central.
 
L’évolution climatique dans notre région se fait sentir par des périodes de sécheresse accentuée :
minimum local briviste de pluviométrie atteint en 2015 avec 609 mm à comparer à la moyenne qui est de 910 mm,
mais aussi par des températures maximales records : deux pour la France lors de la dernière décennie, dont les 41°3 C en 2015.
La température moyenne de Brive s’est élevée depuis les années1990 de 1,5 °C par rapport aux références connues auparavant.
Pour rappel la Région Aquitaine connait une élévation moyenne de 1,2° C en étant déjà la région la plus affectée en France
selon l’étude coordonnée par Hervé Le Treut du GIEC : Groupe Intergouvernemental d’Experts sur l’Evolution du Climat.
 
Le dernier grand critère à considérer pour achever le tableau des éléments influant  la nature à Brive, 
c’est qu’on ne peut pas oublier que nous sommes sur un territoire occupé dans sa moitié nord par une communauté humaine de 50000 âmes
qui interagissent sur la partie sud de façon multiple :

 o   par des décisions administratives,
o   par des dispositions du PLU : le plan local d’urbanisme,
o   par des loisirs quelquefois incontrôlés dans la nature depuis la moto tout terrain à la rave party,
o   par des pollutions de tout ordre depuis l’ensevelissement de déchets industriels en fond de vallée aux dépôts d’ordures des particuliers,
o   par des projets soutenus par les majorités municipales successives qui ont conduit par exemple
à créer un golf sur les zones humides les plus caractéristiques de la Planchetorte situées vers l’aval, conduit
o   par la pression exercée par certains pour construire dans des zones quelquefois protégées,
o   par la conjoncture de la production agricole qui conduit à une forte déprise des terres liée
aussi au vieillissement des acteurs dans ce domaine.



Un aperçu de la biodiversité de la commune de Brive-la-Gaillarde
La richesse en espèces de la flore vasculaire inventoriée de Brive est éloquente avec environ 1250 indigènes,
soit près des 2/3 des espèces indigènes recensées en région Limousin.
Certaines ce ces espèces n’ont pas été revues depuis un moment traduisant, d’une part certainement l’emprise urbaine
qui s’étend sur la commune mais aussi l’impact de la déprise agricole
que l’on on observe au travers d’ une fermeture de certains milieux auparavant utilisés par les paysans.

Il faut ajouter à ce nombre environ 450 espèces exogènes qui sont maintenant rentrées dans la nouvelle flore faisant référence : Flora Gallica,
un nombre important qui confirme le rôle de carrefour de la cité gaillarde
en ayant à l’esprit l’importance des communications dans l’implantation des nouvelles espèces.
Un peu plus de  200 espèces de la flore vasculaire de Brive sont l’objet d’un codage decrescendo de préoccupation relativement
à leur existence dans notre ex Région Limousin, de la catégorie (CR) exprimant le danger le plus important de disparition,
aux risques relativement élevé (VU), élevé (EN), enfin la catégorie Quasi menacée (NT)
qui regroupe les espèces proches de remplir les seuils quantitatifs propres aux espèces menacées,
et qui pourraient devenir menacées si des mesures spécifiques de conservation n’étaient pas prises.

Voici les derniers chiffres concernant les espèces catégorisées à risque de la flore vasculaire de Brive :
 21 en CR ; 53 en EN ; 55 en VU ; 79 en NT
Avec le travail récent des spécialistes bryologues sur Brive, le nombre d’espèces de « mousses » recensées sur la commune a atteint rapidement les 300,
mais par une projection raisonnable en tenant compte de la probabilité de trouver de nouvelles espèces assez communes par ailleurs
mais pour l’instant non inventoriées, on peut s’attendre qu’il y ait plus de 400 espèces de bryophytes, voire un peu plus.
Peut-être est-ce là le chiffre le plus significatif pour comprendre un peu du fonctionnement complexe  du sud du territoire.

Pour compléter ce tableau de la biodiversité locale et pour sortir du monde végétal,
en suivant les papillons de jour qu’on dénomme usuellement les Rhopalocères qui constitue le groupe de lépidoptères le mieux connu,
j’ai pu avoir une idée de la proportion qu’accueille le territoire briviste encontrant plus de 80 espèces de ces papillons
qui en compte 122 dans l’inventaire Limousin et autour de 260 dans l’inventaire national.
On remarquera que cela représente environ 2/3 des Rhopalocères du Limousin présents sur Brive
et qu’il y a une forte correspondance avec la proportion briviste des espèces botaniques appartenant à la flore vasculaire de l’ ex Région Limousin.

L’une des premières préoccupations de cette dernière agence avait été de traiter l’impact du changement climatique sur la biodiversité.  
La création récente de l’ AFB  (Agence française pour la biodiversité), effective au 1er janvier 2017
doit permettre la synergie des grands acteurs de la nature.
Au vu des critères énoncés  pour présenter le territoire de Brive, dans le souci de trouver le bon endroit
qui serait à la conjonction d’une riche composition d’éléments naturels, d’une évolution climatique avérée,
Brive pourrait particulièrement devenir cette bonne cible pour un suivi scientifique des interactions en cours.

Brive ajoute à cette problématique le fait d’être une ville et donc d’intégrer le facteur supplémentaire,
celui de la pression urbaine et celle des infrastructures qui rognent considérablement par ailleurs
 le territoire français non construit qui correspond à la surface d’un département tous les dix ans,
en laissant ainsi de moins en moins de place pour les espaces naturels, pour une biodiversité même ordinaire
dont on sait maintenant qu’elle est aussi importante que celle regroupant les espèces phares ou plus emblématiques.

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Un premier témoignage
Voici pour mémoire le premier témoignage, écrit fin 2011 par moi-même sur la nature dans la vallée de Planchetorte
après une approche se résumant à quelques années d’exploration :

« Brive et son territoire apparaît comme une Perle de la biodiversité des plaines et collines françaises après mes premiers inventaires.
La géographie, la géologie, le modelé de son relief, les expositions variées des coteaux, le climat et même son histoire s'entremêlent pour produire
et entretenir une mosaïque de milieux différents.
Cette richesse biologique réside autant dans la végétation que dans le monde animal :
en considérant les insectes et en particulier le groupe bien étudié des Papillons diurnes,
on estime qu'un tiers de ceux de notre pays, peuvent se rencontrer sur la commune.
ette remarquable diversité du patrimoine floristique, faunistisque
et semi naturel de Brive va être l'objet d'une nécessaire préservation.

On peut ainsi parcourir sur ce territoire des paysages constitués : de collines dolomitiques propices à la végétation calcicole
et notamment aux Orchidées qui avec 35 espèces sont très bien représentées;
de terrains marno-calcaires humides abritant des plantes affectionnant les sels maritimes et rares à l'intérieur de notre pays;
de sous-bois bien exposés où Cigale et arbustes méridionaux trouvent refuge; de dalles rocheuses stériles aux arbres rabougris;
de prés sur sables humides avant l'été favorisant un cortège exceptionnel d'espèces annuelles;
de sols secs accueillant des plantes méditerranéennes.

Pour compléter cet album à la Prévert, on peut voir sur les pentes, des prairies généreuses en fleurs printanières;
des affleurements gréseux où se nichent des raretés botaniques;
des landes à bruyères instaurant un caractère sauvage et inattendu au paysage;
des fonds alluviaux dont la vallée de la Planchetorte est une représentante bien paisible,
mais résonnant encore des hommes à l'aube de l'Histoire.

Dans les innombrables vallons qui entaillent le paysage, se dressent des fronts rocheux évidés parfois en alvéoles,
en cavernes naturelles et abris creusés pour la sécurité des hommes,
offrant ainsi dans leurs dispositions des habitats variés pour de nombreux végétaux :
dans les sphaignes d'une paroi suintante au détour d'une route, une plante carnivore nous surprend :
la Drosera avec quelques autres habituelles des tourbières de la Montagne Limousine.

Mille plantes et mille grottes fruits d'un territoire prolixe.
Cette énumération ne saurait cacher ce que l'on peut ressentir par ailleurs :
dans la quiétude d'un vallon perdu, serti de fronts rocheux, dans ce petit monde accordé le temps d'un moment de solitude,
sous le chaud soleil, sentir l'exhalation capiteuse de la Reine des prés,
s'adoucir au contact de la mousse moelleuse, se fondre dans les jeux d'ombre et de lumière sont pour l'esprit des moments apaisants. »







Un Abécédaires des Odonates du Limousin


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